Analyse pratique injection sous cutanée
Je suis en stage du 05/11/12 au 27/01/13 à l’hôpital de Roubaix rue Lacordaire, dans le service de Néphrologie située au 2ème étage côté ouest. Ce service accueille des personnes en insuffisance rénale aigue et chronique, hémodialysés ou dialysés péritonéaux, des patients en projet de greffe. La mission principale de ce service est préventive, éducative, diagnostique, curative, palliative. Ma patiente en responsabilité est une dame âgée de 75 ans entrée le 13/11/12 en réa méd. pour choc septique sur pyélonéphrite aigue droite obstructive ayant nécessité une pose d’endoprothèse, transférer en néphrologie le 22/11/12 pour suite de soins après sepsis urinaire compliquée d’une insuffisance rénale aigue. Elle nécessite un isolement de contact préventif à l’EPC (Entérobactérie productive e carbapenémase) contracté dans le service de réa méd. mais pour lequel les résultats biologie sont revenus négatifs une surveillance est maintenu jusqu’au 04/12/12.Madame D pèse 116 kg pour 1M48, elle présente une obésité morbide IMC à 58. Elle est opposante à la mise au fauteuil et se plaint de douleur lombaire. C’est une dame qui communique facilement. Je suis en poste du matin (6h30-14h) le 23/11/12 (18ème jours de stage), l’infirmière me demande si j’ai déjà fait une injection en sous cutanée de calciparine chez Me D. Elle sait que celle-ci est ma patiente car je lui ai dit ce matin avant de commencer le tour de constante et distribution des traitements. Je lui explique que je n’ai pas eu l’occasion de le faire moi-même mais que j’ai pu observer à plusieurs reprise se soin. J’en profite pour lui dire que j’ai fait des recherches sur les anticoagulants, que je connais la posologie 2 injections par jour 1 le matin et 1 le soir calciparine 7 500 ui/0.3ml, et que la calciparine chez