Analyse sociétale - presse
Titre : LE JOURNALISME DE GUERRE.
Hypothèse : Le seul moyen libre d’expression : LA CLANDESTINITE.
Le journalisme en France est né à la fin de l’ancien régime avec la naissance d’un premier journal : la gazette de paris. La presse à ce temps là était une presse d’information et d’opinion jusqu’à la seconde guerre mondiale de 1939 à 1945 ou la France s’est retrouvée divisée en deux zones. Une partie de l’hexagone est passée sous le joug des allemands, tandis que l’autre résistait tant bien que mal à cette domination nazie. Chacune de ses deux parties apprenait l’évolution de cette guerre à travers les grandes lignes de la presse. Cependant durant cette période, la presse avait pour but de promouvoir la propagande collaborationniste ou à l’opposé d’appeler à la résistance d’où la naissance de deux types de presse : la presse collaborationniste et la presse clandestine.
La Seconde Guerre Mondiale n’était donc pas seulement un combat sur le champ de bataille, elle l’était aussi entre la presse libre et celle collaborationniste.
Chacune repliée dans sa tranchée. Cependant, une seule détenait la vérité et défendait honorablement les valeurs telle que la liberté d’expression, il s’agit de la presse résistante.
Si elle était engagée, elle n’en était pas moins acquis à retransmettre la véracité des faits.
De l’autre côté la presse sous Pétain, étouffée par la propagande et la censure allemande a définitivement disparu des kiosques lors de la libération et la chute du régime de