Analyse soleil vert
Quand Richard Fleischer réalisa ce film en 1973, il était sûrement perçu soit comme un visionnaire, soit comme un fou et nous pouvons en juger à la vue de ce film. En effet, de nombreux problèmes présentés dans ce film commencent à montrer le bout de leur nez dans notre présent et seront sûrement d'actualité dans un futur proche, plus particulièrement en ce qui concerne le réchauffement climatique et de la surpopulation mondiale. Certains spécialistes prévoit qu'en 2050, il n'y aura plus assez de céréale pour nourrir l'humanité, soit 9 milliards d'habitants, si les surfaces de terres agricoles n'augmentent pas plus rapidement. On se souvient qu'il y a 2 ans environ, des émeutes de la faim ont eu lieu dans les pays pauvres un peu partout sur la planète due à la spéculation du prix des céréales et liée à une mauvaise récolte mondiale.
Analyser la vision de l’auteur sur l’euthanasie
Mon avis personnel sur la vision de l'auteur sur l’euthanasie est que, par rapport au film, d'un côté il montre qu'elle est présentée comme une chose idéale, une fin de vie quasiment paradisiaque, sans douleur ( ce qui est le cas actuellement dans les pays où elle est légale ) mais en fait, on s’aperçoit que tout n'est que mensonge. L'euthanasie est une escroquerie puisque les personnes âgées qui y ont recours sont ensuite transformées en protéines pour nourrir les vivants. Ce n'est ni plus ni moins que du cannibalisme et illustre bien cette expression courante : « l'homme est un loup pour l'homme ».
Le « meuble » ici joué par Leigh Taylor Young, elle et l'inspecteur vont tout deux tomber amoureux dans ce film. On y voit la cruauté que les femmes subissent enfin certaines comme celle-ci sont bien traitées. Le meurtre du riche, qui va amener alors l'intrigue de Soleil Vert.
Sol décide d'aller au Foyer, endroit où l'on se fait euthanasier. Thorn arrive trop tard pour l'en empêcher mais découvre ce qu'était le passé, des