Branding

I. Diagnostic Externe :
- Environnement socioculturel
Le rapport de l'homme avec l’habillement a beaucoup évolué. Les hommes n'ont plus peur de s'intéresser à la mode. Les chiffres le prouvent : l'étude TNS Worldpanelfashion révèle ainsi que les hommes sont finalement les plus dépensiers. En effet 15 % des hommes déclarent dépenser plus de 500 € contre seulement 6% pour les femmes. Le profil de l'«homo consumériste » n'est plus aussi basique qu'auparavant. Il devient de plus en plus complexe et tend à se rapprocher davantage de celui de la femme, tout en revendiquant des différences distinctes. Alors que les femmes s'attachent avant tout à la silhouette dans l'acte d'achat, chez l'homme la dimension sociale et la fonctionnalité ont une place importante. JULES a compris cela et s'est diversifié en développant sa ligne de vêtements afin de toucher les jeunes urbains qui veulent affirmer leur statut social dans la société. De plus, le rôle du vêtement évolue pour l'homme : s’il est, comme on l'a dit, synonyme de statut, le vêtement est également devenu un outil de séduction. En effet depuis le début des années 1990, on assiste à un homme nouveau métro sexuel parfois androgyne, plus soucieux de son image et de son corps et qui n'hésite pas à s'affranchir des codes masculins traditionnels. Les hommes veulent aussi se faire plaisir en s'habillant, ne plus être que dans la représentation sociale. Les marques l'ont compris et en ont saisi l'opportunité. JULES a ainsi lancé une ligne de bijoux masculins. De plus pour satisfaire cette nouvelle clientèle, JULES a créé des styles où les hommes peuvent exprimer toute leur séduction. Une nouvelle tendance a d'ailleurs fait son apparition auprès des jeunes générations, le « dressing up », c'est-à-dire le fait de s'habiller plus élégamment en restant décontracté. De plus, l'enseigne n'hésite pas à créer des accessoires ou des vêtements en rapport avec les évolutions, les normes et les moeurs de la