Analyse sur le texte la crise sophistique : le discours humain laissé à lui-même par jean grondin
L’analyse qui suit va porter sur le texte La crise sophistique : le discours humain laissé à lui-même. Ce texte a été écrit par Jean Grondin. Le contexte est celui de la Grèce antique surtout, mais a été écrit de nos jours. Cette rédaction parle de la vérité avec comme exemple les sophistes de cette époque. La problématique décrite dans cette œuvre est l’accessibilité de la vérité dans le monde en général. Est-ce que la vérité est accessible? Somme-nous vraiment au courant de la vérité? La vraisemblance serait-elle ce qu’on considère comme « vrai »? Il faut se questionner sur comment on perçoit les choses. Est-ce qu’on se fit plus à l’apparence des choses plutôt qu’à s’attarder à la vérité?
Dans ce texte, l’auteur veut nous amener à réfléchir sur des éléments essentiels de la vie humaines : « Si la vérité et l’être sont inaccessibles, la vraisemblance, l’apparence et le succès oratoire ne le sont pas. » (Jean Grondin, ligne 57-58) Ce que l’auteur veut dire c’est qu’il serait impossible d’accéder à la vérité et à ce qu’est l’être. Toutefois, nous avons accès à ce qui est vraisemblable, en d’autre mots, à ce qui nous semble vrai ou crédible, mais qui ne l’est pas nécessairement. D’après l’auteur, on croit à quelque chose tant que la personne qui le dit a une bonne façon de s’exprimer et parait bien. Par exemple, la façon dont nous percevons la société est ce qui nous parait le plus vraisemblable, on perçoit plusieurs individus, mais la déesse de Parménide, elle, verrait cela comme une seule chose, une unité distincte. Il est important de définir quelques concepts pour bien comprendre, comme le concept de vérité. La vérité c’est quand une affirmation dit ce qu’elle veut dire comme elle est vraiment. Aussi, il y a le concept d’apparence qui est la façon dont nous percevons quelque chose et le concept de vraisemblance qui est le caractère de quelque chose qui est crédible.
Dans le troisième