Analyse un dimanche à la piscine à kigali
En 1995, au Rwanda, il y a eu un des pires génocides, ce fut celui qui a escaladé le plus rapidement dans l’histoire de notre civilisation. Il y a eu le plus de morts en moins de temps qu’aucun autre Génocide, soit de plus de 800, 000 dans moins de trois mois. L’auteur célèbre, Gil Courtemanche était présent lors de cette événement tragique et lorsqu’il est retourné, il a commencé à écrire le livre ‘’Un dimanche à la piscine à Kigali’’, ce livre est basé sur son séjour dans cette merveilleuse pays. Il y a une scène dans le livre qui démontre une tonalité pathétique. Cette scène est celui où Cyprien, un homme atteint du sida, et sa femme, Georgina, se font tuer par des miliciens Hutus. Cette tonalité est représenté non seulement à l’aide de la violence et la vulgarité des miliciens, mais aussi par le traitement des corps après la mort de ceux-ci.
Premièrement, Gil Courtemanche démontre à quel point la scène où Cyprien et sa femme décèdent est violente et vulgaire à l’aide d’un langage très riche et coloré. Par exemple : ‘’Un sein pendait en dehors de son tee-shirt déchiré et ensanglanté. Le chef de la barricade pointa un revolver sur la tempe de Cyprien et le mena près de Georgina.’’ L’utilisation d’un langage très vulgaire aide ici l’auteur à nous faire voir à quel point c’était violent. Il n’y a pas de censure, nous ne nous imaginons pas cette scène, il est décrit très clairement, plein de détailles atroces. Par exemple, le fait que le chandail à Georgina est ‘’déchiré et ensanglanté’’ nous explique à quel ampleur cette femme à du souffrir. Aussi, elle a un sein qui ‘’pend’’ en dehors de son tee-shirt, ce qui signifie qu’elle s’est fait violé par plusieurs hommes. De plus, il y a même la mention de cela plus loin dans l’extrait : ‘’Nous avons tous essayé, mais nous n’y arrivons pas. Ta femme n’a pas de plaisir.’’ Ensuite, l’auteur à utiliser une autre phrase pour prouver l’horreur absolu de ce spectacle : ‘’Le petit barbu