Le passage que j’ai choisi est de « Les gros souliers des homme… » jusqu’à «On y va, maman, pour voir s’il y a le livre ? » Dans ce passage l’auteur utilise l’imparfait pour décrirel’image. Il emploi beaucoup d’adjectifs comme gros et grands. On a l’impression que tout est grand et gros là sauf « le petit ». L’auteur indique comment le garçonsentie de la situation. Il est enchanté de la rumeur et la trépidation, des voix des femmes, les gros souliers des hommes, et les fers des chevaux. Le bruit des choses plus grand que lui. Dans ces lieux, le garçon semble très petit mais il est content. Quand la messe sonne, Aristide pense à la grandeur des cloches qui sont si forte. Il pense qu’elles sont très grosses pour donner un son d’une telle ampleur dans l’espace qui est trèsgrand. L’auteur utilise des objets abstraits pour souligner que le son est fort et l’espace est vaste. Tout le ciel, toute la lumière, toute la vaste étendue environnante chantent ! C’est impossible mais on comprend que le garçonest petit et il aime le son des cloches. Maintenant il est heureux et enthousiaste au voyage. Ils arrivent à l’église et l’attitude d’Aristide change. Il s’impatient, il tire la jupe de sa mèreet il grogne sourdement. Il n’y a pas beaucoup de détailsde l’église. Le garçon ne s’intéressepas à ça. Il demande d’aller pour trouver le livre. En lurent, on doit faire attentions à l’importance de les personnages et le cadre. On peut voir qui est le plus important parce que l’auteur donne une description en détails. Au début, Aristide n’est pas plus important que tout les hommes ou les femmes, pas les grosses cloches ou toute la lumière. Il est petit et c’est tout. Il n’y a rien de détailsd’Aristide au debout. Quand ils sont à l’église il est plus important. Il veut faire comme il veut. L’église et sa mère ne sont pas importantes pour lui et il n’y a pas de détails de celles. Il ne pense qu’à lui-même. Il n’est pas content parce qu’ils ont arrêtés. Il y a une grande