Ce qui est intéressant à voir c’est évidemment le côté psychologique du personne de
Jean Claude Romand qui nous montre en fait tout au long du récit le contrôle qu’il portait, et l’importance de ce contrôle qu’il portait à sa vie depuis petit, il contrôle ce qui l’entoure, par exemple, petit il montrait l’image d’un petit garçon épanoui heureux calme et assidu à l’école mais en fait ce n’était qu’une façade il était triste et voulait seulement rendre une image parfaite sa famille pour la rendre …afficher plus de contenu…

On voit dans ce livre l’importance du contrôle et cette obsession de contrôler ce qui l’entoure auquel cas il se rendait compte de sa faiblesse, cette situation l’angoissait et dans ces moments-là il était pris par ce sentiment de panique qu’il éprouvera vers la fin du récit lorsqu’il se rendra compte que c’est la fin et que la vérité allait émerger.
Tout le long du procès on découvre un personnage très sentimental qui est touché, ému par les personnes qui l’ont entouré. Déçu, rongé par le regret et la culpabilité de l’acte qu’il a commis, on l’observe lorsqu’il avoue son crime au barreau pour le meurtre de ses …afficher plus de contenu…

Il a cette obsession pour le contrôle qui la rongera, en commençant par un mensonge assez petit sur ses études et qui pendant 8 ans va rester tel qu’elle, puis, vient la vie d’adulte, l’engagement, le mariage et la vie de famille. Romand s’enfonce dans son mensonge avec un métier de chercheur à l’OMS, des fonds d’investissement en Suisse et autre petit délit pour crédibiliser sa situation.
La honte. C’est ce qui l’a poussé à fuir, à mentir. Il fuyait la déception de son père suite à son choix d’étude, il fuyait la honte qu’il subirait en disant qu’il ratait ses examens. Cette honte l’a guidé vers ce mensonge, vers cette obsession de tout contrôler et en voilà la conséquence : la mort les