Analyse d'un extrait du moulin de baudelaire.
Rien d’autre sinon qui explique Pour le poète, il n’a rien d’autre de vivant que lui-même. Au final, le moulin mourra après avoir accompli la même tâche durant toute sa vie. Comparaison avec la vie humaine ou nous sommes condamnes après nos années de travail à la mort. Conclusion : Rappel des idées (figure de styles, champ lexical, etc) Ouverture : Comparaison avec le poème l’ennemi (poème décrit l’angoisse du poème et le nôtre décrit le désespoir) « Le moulin tourne au fond du soir, très lentement, […] / Et le silence entier de la nature éteinte. »Dans cet extrait, nous pouvons remarquer une correspondance morale entre la lenteur du moulin et la mélancolie. En effet, l’auteur suggère une ressemblance entre le mouvement du moulin, qui est perceptible par la vue, et la mélancolie, qui est un sentiment. De plus, il y a aussi une antithèse présente dans ce même extrait. Le poète effectue un rapprochement entre le mouvement du moulin et l’immobilité