Analyse lineaire : portrait de guy de la bruyere
On a déjà ici un 1er indice de la malfaisance de l’argent.« La démarche ferme et libérée » : Avec la démarche, le portrait s’anime. Donne de l’intérêt au lecteur car il insuffle de la vie à son personnage. Mais avec sa …afficher plus de contenu…
« On ne l’interrompt pas » opposé à « il interrompt ». Soit c’est par intérêt que l’on accepte de l’écouter soit c’est par bêtise car on commence à croire ce qu’il dit. « On croit les nouvelles qu’il débite » sottise. L’argent fausse donc les relations humaines.« S’il s’assied, vous le voyez s’enfoncer dans un fauteuil » il se relâche, non compatible avec les règles de bienséance. Il faut être assis avec les dos droits. L.B. appelle le lecteur « vous le voyez » à visualiser cette grossièreté de Giton. Enumération de verbe d’action qui complète « vous le voyez ». Cette façon de procéder permet d’amplifier la scène. L’insolence et la grossièreté de Giton est donc renforcé. « Croiser les jambes » impolis. « Froncer le sourcil »