Le poème analysé décrit la vie d’un être noble et de tous les obstacles qui lui font face. Alors, c’est au printemps lors du dégèle, le chevreuil s’enfuit de ses racines avec la clarté pour mieux brouter l’herbe fraîche. En effet, selon le chevreuil, c’était le parfait moment pour partir explorer et suivre sa curiosité. Le jeune animal, enjoué de découvrir le monde et la nouveauté est excité d’être libre. Tout d’un coup, la liberté du chevreuil s’envole en un coup de trait et en meurt puisque la …afficher plus de contenu…

Il voulait s’enfuir de cette prison pour aller vers un monde nouveau. (272 mots)Dans le poème étudié, l’homme étant le chevreuil, était jeune et vulnérable, inconscient du danger qu’une seule rencontre étrangère pouvait autant le bouleversé. Alors que « L’insouciance » abritait son corps, qui soit le thème secondaire, l’homme était facile d’atteinte. C’est-à-dire, que cette rencontre mille fois plus intense l’avait heurté en plein fouet dans son « flanc » (vers 14). Ce détail, plutôt intense pour simplement décrire une rencontre, prouve que l’homme s’attendait à tous sauf ça et qu’il a été frappé, bouleversé par cet évènement. L’insouciance, c’est l’immaturité, l’adolescent qui fait que commencer sa vie, « l’âge » (vers 13), le passage …afficher plus de contenu…

C’est une exagération qui explique le sentiment que l’homme vivait à cet instant était tellement intense qu’il compare ça à s’avoir fait tirés milles flèches d’un coup dans son flanc. (180 mots)Dans le texte « Comme un chevreuil… », le chevreuil et l’homme, étant nouveaux et innocents face à ce nouveau monde fait preuve de « pureté », le deuxième thème secondaire. En effet, le chevreuil est vu comme un animal noble et c’est le mois d’avril, le « printemps » (vers 1), la saison après une dure hiver. Le mois d’avril c’est lorsque la nature bourgeonne, que la neige est presque toute fondue et que la nature reprend vie. De plus, la nature étant fraîche et renouvelée, une mystérieuse « onde à l’écart recelée » (vers 7) attire la curiosité du chevreuil. Ce court d’eau inconnu étant à l’écart