Andre maurois
C'est à Genève en 1909, qu’il rencontre celle qui allait devenir sa première épouse, Jane-Wanda de Szymkiewicz (Jeanine) (1892-1923). Il en était fou amoureux et toute sa vie la recherchera à travers les autres femmes. Fille d’un comte polonais, cette superbe jeune fille de 17 ans à la chevelure blonde, volage comme sa mère, capricieuse, dépensière, lui donnera trois enfants dont deux garçons (qui ne seraient pas de lui[précision nécessaire]) et une fille, Michelle. Cette dernière sera elle-même écrivain et publiera, entre autres, une émouvante trilogie basée sur une multitude de courriers familiaux (« L’encre dans le sang » - « Les cendres brûlantes » et « Déchirez cette lettre ») qui retrace l'histoire du couple Caillavet et de leur fille Simone. Neurasthénique, elle décèdera âgée de 31 ans à la suite d'une fausse couche.
Interprète militaire et officier de liaison auprès du BEF (Corps Expéditionnaire Britannique) en France et en Flandres pendant la Première Guerre mondiale, Maurois écrit en 1918 Les Silences du colonel Bramble, qui connaîtra un vif succès, tant en France que dans les pays anglo-saxons, et qui sera suivi des Discours du docteur O'Grady. Les événements de cette guerre lui fournissent son pseudonyme « Maurois », nom d'un village du nord de la France.
Après la guerre, il a fait partie de la rédaction du journal des Croix-de-feu, Le Flambeau[précision nécessaire].
À Paris en 1924 il fait la connaissance de