Andromaque
De même, les assonances en « i » telles que « soumis, furieux, yeux » (v.975-976) expriment un son aigu et déchirant manifestant le désespoir du personnage. L’allitération en sifflante « désespéré, son sort, souffrir, incertitude » traduit le son d’un soupir mettant ainsi en évidence la souffrance du personnage. Enfin, il place trois pronoms personnels sur un même vers désignant respectivement