Anglais, traduction
A gang of young pickpockets Oliver Twist, un orphelin, vient d'arriver à Londres, où il est devenu ami avec le Dodger. Son nouvel ami lui a présenté le vieux Fagin, qui offre le gîte et le couvert aux garçons orphelins et sans abri comme lui. Ce que Oliver ne sait pas encore, c'est que Fagin gère un réseau de jeunes voleurs. Oliver est toujours convaincu que tous les garçons ont des emplois décents et il est impatient d'aller avec eux dans le but de gagner sa vie aussi. Après quelques jours, Fagin accepte de laisser Oliver "aller travailler" avec le Dodger et un autre garçon du nom de Charley Bates. - Voyez vous ce vieux au stand des livres? - Le vieux monsieur sur le chemin? dit Oliver. Oui, je le vois. - Il va faire. dit le Dodger. - Une usine de grande écoute. Observa Maitre Charley Bates.
Oliver les regardait de l'un à l'autre, avec la plus grande surprise, mais il n'était pas autorisé à procéder à toute enquête, car les deux garçons marchaient furtivement à travers la route, et se glissa juste derrière le vieux gentleman envers lesquels son attention avait été retenue.
Oliver fit quelques pas après eux, et, ne sachant s'il devait avancer ou reculer, regardait avec étonnement silencieux. Le vieux monsieur était un personnage très respectable, avec une tête motorisé et avec des lunettes d'or. (...) Il avait pris un livre sur le stand, et il était là, lisant loin, aussi fort que s'il était dans son fauteuil, dans sa propre étude. Il est très possible qu'il se croyait là, en effet, car il était évident, à partir de son abstraction, qu'il ne voyait pas l'étalage du libraire, ni la rue, ni les garçons, ni, en un mot, rien, mais le livre lui-même. (...) Quelle a été l'horreur d'Oliver et d'alarme, comme il se tenait à quelques pas, regardant avec ses paupières comme grande ouverte comme si il était peut-être possible d'y aller, pour voir le grand Dodger la main dans la poche du vieux monsieur, et tirer de là, un