Un jour d'hiver en Janvier, sous un soleil liquide, mon avion touche à Charles de Gaulle. Une fois de plus je suis frappé par l'aspect ambivalent de la place. Je me demande si ce vaisseau spatial dégradé est une sorte de métaphore pour la France, si ce pays est à certains égards, ultramoderne et sophistiqué mais par d'autres moyens de retard. Mais un certain nombre de choses sont différentes de mon arrivée ici, l'été dernier. Le temps, pour commencer. Et cette fois, Frédéric ponctuel! M'attendait avec une pièce de rechange, le cavalier laineux épais parce que c'est un jour particulièrement froid et qu'il est inquiet, je vais geler à l'extérieur. Nous avons rencontré pour un seul week-end dans les quatre derniers mois, mais nous avons beaucoup parlé au téléphone et peu à peu aller à Paris était venu à ressembler à la seule solution raisonnable. Il y avait eu ne parle pas de savoir si je vais lui donner deux mois, six mois ou un an. Comme beaucoup de décisions qui changent la vie, le passage à Paris a été décidé avec peu se soucier des conséquences. Je suis totalement ignorant de ce qui se trouve en magasin.Frédéric n'est pas la seule raison de rester dans l'Europe, si. La vérité est, je ne suis pas prêt à rentrer à la maison. Et le sentiment prêts est extrêmement important quand votre pays est si loin du reste du monde. Aucun australien ou néo-zélandais veut mettre fin à leur travail pendant les vacances à Londres que d'être hanté plus tard par la pensée d'aventures non vécue. Parce qu'une fois que vous allez tous le chemin du retour, vous êtes là pour rester, va la logique. Oh, bien sûr, vous Voyage et repartir à l'étranger, mais de futurs voyages ne sera pas extensible à l'infini comme celui-ci, ils ne contiennent pas autant de possibilités. Rentrant chez elle est le point final marquant la fin de l'aventure, le début d'une vie responsable. Et malgré les douze mois de voyage, je ne suis pas prêt à être responsable.Le réseau de télévision, j'ai travaillé à Sydney