anne frank
2. Les deux phases de la bataille sont constituées par une offensive germanique entamée en février suivie d’une contre-offensive française à partir de juillet.
3. La photographie est prise lors d’un moment de repos des soldats français. Leur visage est grave et peut marquer une certaine lassitude. Ils creusent sans arrêt des tranchées car la ligne de front, très courte, est sans cesse, et de part et d’autre, pilonnée d’obus.
4. Le type d’arme le plus meurtrier est l’artillerie : les obus de tous diamètres sont à l’origine des dégâts humains considérables ; plus de 800 obus sont tirés chaque heure pendant 10 mois ! L’utilisation des mitrailleuses est aussi très mortelle. Enfin, des armes nouvelles chimiques comme les gaz ont impressionné les contemporains, mais causent 1 % « seulement » des morts.
5. a. Georges gallois envoie à ses parents, restés à l’arrière, une lettre du front, écrite après cinq mois de combats incessants mais destinée à les rassurer et les informer de sa situation personnelle. La lettre est bien souvent, pendant des mois, le seul lien qui rattache le soldat mobilisé à sa famille. b. Il cite les gaz asphyxiants et les liquides enflammés. Il évoque aussi, par les « tirs de barrage », les obus. c. La mort est présente lors des combats offensifs côté français, mais aussi par des tirs nourris et continus d’obus allemands en préparation d’un assaut. La mort poursuit de son odeur le soldat lorsqu’il part en repos quelques jours. d. la vie quotidienne, en temps de repos ou d’absence de bombardement, n’est pas facile pour les soldats sur le front. Les rats, attirés par les