Léopold Sédar Senghor

Poète mais aussi écrivain né en 1906 au Sénégal et mort en France en 2001, il a été le premier président au Sénégal pendant vingt ans (1960-1980) ainsi que le premier africain à siégé à l'Académie Française. Léopold Sédar Senghor accompagné de Aimé Césaire à lutté contre né-gratitude et ont tout deux défendus leurs origines.

Extrait de A New York issu de Ethiopiques (1956).

New York ! D'abord j'ai été confondu par ta beauté, ces grandes filles d'or aux jambes longues.
Si timide d'abord devant tes yeux de métal bleu, ton sourire de givre
Si timide. Et l'angoisse au fond des rues à gratte-ciel
Levant des yeux de chouette parmi l'éclipse du soleil.
Sulfureuse ta lumière et les fûts livides, dont les têtes foudroient le ciel
Les gratte-ciel qui défient les cyclones sur leurs muscles d'acier et leur peau patinée de pierres.
Mais quinze jours sur les trottoirs chauves de Manhattan

C'est un poème en vers libres, sans rimes. Le poème en vers libres montre la modernité des poèmes. Mais lui garde les formes de ponctuations pas comme Apollinaire.
Sédar Senghor évoque le monde moderne par les mots « gratte-ciel, métal, acier.. » des matériaux et bâtiments qui faisaient, à l'époque peur car le monde changeait.
Il fait vivre la ville par ses personnifications « t'es yeux métal bleu, ton sourire de givre. » ou encore « les trottoirs chauves».
Par ce poème, Léopold Sédar Senghor nous laisse lire entres les lignes son point de vue, et nous fait entendre qu'il n'aime pas forcément comment le monde va devenir c'est à dire de nouveau matériaux et de nouvelles battisses immenses.

Pierre Mac Orlan

Pierre Mac Orlan écrivain et poète français est né en 1882 et mort en 1970. Durant sa jeunesse il était bon ami avec Apollinaire. Il voulait faire carrière dans la peinture, c'était un rêve pour lui, mais qui ne se réalisera pas. Mac Orlan s'est donc lancé dans l'écriture de conte