Anthroppologie
A) Lorsque mon amie m’aurait expliqué son point de vue sur le fait qu’il faut toujours des lois et des chefs pour que la paix résigne dans une société, je lui répliquerais grâce au texte de Nadine Trudeau ces arguments-ci. Tout d’abord, le peuple Inuit, est un très bon exemple d’une organisation sans lois ni chefs, il utilise l’organisation politique non centralisée. Il s’agit d’une organisation fondée sur la bande. Ce qui signifie qu’ils utilisent un système qui a pour objectif de veiller au maintien du peuple sans avoir de hiérarchie, de lois établies et parfois un chef mais celui-ci n’a pas de pouvoir de coercition (le pouvoir de contraindre). En d’autres mots, le pouvoir est diffus. Pour éviter les conflits les Inuits utilisent davantage les mécanismes d’intériorisation, cet-à-dire qu’il n’y avait pas vraiment de sanctions données. Ils devaient plutôt se soumettre aux lois du groupe. Plusieurs options s’offraient à eux pour régler les problèmes sans troubler l’ordre public comme les rites qui servaient à canaliser les tensions entre les individus. Aussi, «des pratiques violentes ou non pouvaient être utilisées comme des combats de boxe »[1] qui opposait les deux personnes ayant un conflit à régler et où les autres méthodes avant n’avaient pas donné les résultats voulut. L’exclusion était utilisée en dernier ressort ou d’une offense grave car il s’agissait de la peine de mort pour eux. Mais avant d’en arriver aux méthodes violentes, les Inuits cherchaient les moyens pacifiques en premier lieux.
Un autre moyen qui nous paraît inusité est utilisé par les Inuits pour régler leurs conflits : le duel chanté. Il s’agit d’une bataille de chants d’insultes ! Les deux participants improvisent ou non des chansons insultantes sur l’autre participant devant un public qui choisit lequel a le mieux performé, durant cette joute. Toutes ces méthodes pour éviter les conflits s’avèrent