Antoine
Termes techniques | Appuis | Interprétation | Pistes de lectures | Antiphrase Comparaison Champ lexical Registre familier | - « niche » - « on ne l'avait pas vu depuis deux jours » - « pour l'emballer » - « encore joliment soûl » - « Gai comme un pinson » - « Soin paternel » - « Tendresse » - « En v'la » ; « Va t'es heureuse » | - Animalisation -Indifférence des autres envers G. -Comparer a un objet - Rapport a l'alcool Surnom du père « Bibi la gaieté » , on est gai lorsqu'on est soûl → alcoolique - Attachement du père pour Gervaise -Statut sociale | |
Plan :
Une fin sordide : une scène réaliste.
1) La crudité de l'évocation : l'horreur du sujet. ( L'odeur, la couleur, « déjà verte», le lieu «la niche», le fossoyeur sale et soûl) 2) La cruauté de la misère, monde sans pitié (l'ignorance de voisins, le discours du Père Bazouge, utilisation du discours direct il la tutoie, «tout le monde» et «on» reviennent souvent) 3) Un regard impitoyable et sarcastique : « Joliment soûl ». Antithèse entre réflexions philosophique et le discours du Père Bazouge.
Présence de l'émotion : une touche lyrique Dans le récit : changement de point de vue « Fut pris » ; « Doucement » : Utilisé sous plusieurs sens. Un personnage double (le père Bazouge) : Hoquet : Soûl ou triste ? Dans le discours : une vraie douleur : tutoiement, berce de ses mots G. Rythme : 6/7/8/9 syllabes.
Conclusion :L'assommoir, récit d'une déchéance physique et morale se clôt sur la vision horrible du cadavre décomposé de Gervaise, pour l'accompagner dans son dernier voyage le romancier fait intervenir un vieux voisin alcoolique dont les propos et l'attitude ajoutent du sordide a la scène mais une ultime tendresse envahit le personnage : lyrismes et pathétique colorent la page d'une émotion inattendu. Ainsi la