Apollinaire
Ce poème est estructuré en quatre quatrains avec refrain parmi d’eux. Ce refrain donne au texte une sensation de monotonie, de fatigue, de soffocation, d’obsession et de lyrisme.
Les strophes sont composées par 4 vers ; le premier et le dernier sont decasyllabes et les deux centrals ; decasyllabes coupés en un hexasyllabe et en un tétrasyllabe. Avec une ryme suffisante et suivies.
On peut diviser le poème en trois parties :
Dans la première et deuxième strophe serait présente son amour passé. La troixième est liée avec la fuite de l’amour et la dernière fait appel à la fuite du temps.
Le thème central est la disparition de l’amour, sa fugacité. L’amour n’attente à rien. L’amour continue et il tend à finir. En soulignant les mots clés on voit cette idée.
Champ lexical de l’eau : pont, coule, onde, eau courante, coule.
Champ lexical de la fuite de l’amour : vienne, s’en vont, s’en va, passent, passé, reviennent.
Champ lexical du temps : Heure, jours, semaines, temps,
Ces deux champs sont liées à travers de l’eau qui symbolise l’amour. Tout le texte devient une métaphore qui utilise la Seine et le pont Mirabeau comme explication de l’imposibilité de retenir le sentiment. L’eau coule et le temps passe.
L’auteur utilise le mot « pont » de deux manières différents. La première, de forme explicite « le pont Mirabeau et la deuxième, de forme plus métaphorique « le pont de nos bras ». Ce dernier pont répresente vraiment l’union. C’est à dire ; l’un représente le temps et l’autre l’amour.
Il faut faire attention aux verbes de mouvement comme « vont, va, passent » etc. Ils montrent le déplacement du poéme. Tout se