Approche des marchés étrengers
APPROCHE DES MARCHES ETRANGERS Introduction : Mondialisation et développement des échanges Le dvpt des échanges internationaux depuis la fin du XIXème siècle s’est traduit par différentes formes d’approches des marchés étrangers. Ainsi, au début, exporter était considérer comme un moyen de dépasser les limites du marché intérieur et donc de rechercher des nouveaux débouchés. Par ailleurs, dans cette logique, avec la crise des années 30, les firmes américaines ont été incitées à écouler leurs stocks à l’étranger. Dans le même temps, il s’agissait pour les EU d’imposer des produits nouveaux sans concurrence. Ce phénomène était renforcé dans l’immédiat après guerre dans la mesure où la situation de pénurie que subissait les pays européens n’incitait les firmes ni à étudier les consommateurs, ni à s’intéressé à leurs goûts. Parallèlement, des pays comme la France avaient acquis sur certains produits (luxe, vin…), une position privilégiée le marché. Ceci s’est traduit par une position anti-marketing qui se caractérise par un rapport de force positif inhérent à un avantage concurrentiel marqué. Cet avantage épargne entre guillemets les efforts de prospection et d’adaptation des produits dans la mesure où les clients sont acquis. Par conséquent, l’absence de pression de la demande ne nécessite aucun effort en termes de marketing. Cette situation est dangereuse dans la mesure où les avantages acquis peuvent disparaître. A partir des années 60-70, des nouveaux pays ont fait leur apparition sur la scène internationale, en l’occurrence les pays producteur de pétrole et les nouveaux pays industriels. (Asie : Hong Kong, Taiwan, Corée, Singapour ; Amérique latine : Brésil, Mexique, Chili, Argentine). En raison de leur politique de dvpt, ces pays ont attiré les multinationales en dans le même temps, et ces politiques ont permis le dvpt d’une classe moyenne. Ces multinationales sont devenues aujourd’hui des concurrents