Argentine
En 1991, est mis en place un plan de convertibilité qui ressemble au currency board. En fait, chaque peso doit avoir sa contrepartie en dollar et est donc limité à l'entrée en devises. Ainsi, lorsque l'entrée en dollars baisse, l'émission de crédits en peso également. La banque désormais ne prete plus et ne finance plus les crédits lorsque les entrées sont insuffisantes. On assiste à un pb de capitalisation et le gmvt cherche un déficit zéro pour son budget précipitant la récession.
Le gmt impose le corralito . À cause des conversions des pesos en dollars, la population n'a plus confiance en la capacité du gvt à surmonter les difficultés, à assurer la croissance et demande la cnonversion des depots en argent liquidaire .
En 1996, le ministre de l'éco est limogé et remplacé par Rogue Fernandez, président de la Banque Centrale argentine, il s'avère favorable à une économie libérale et présente même un programme de privatisation.
En 2001, les réformes économiques du plan déficit zéro n'étant pas respectées, le FMI refuse d'accorder un prêt de 1,3 milliards de dollars après celui de 20 milliards suivi de la Banque mondiale et de la Banque Interaméricaine de Développement de 1,1 milliards. Il est nécessaire de puiser dans les réserves des fonds de pension pour rembourser la dette extérieure.
Daniel Marx, vice-ministre de l'éco et secrétaire d'état aux finaces, démissionne en décembre 2001. Après les émeutes, l'attaque de la mairie de Cordoba, les pillages, le président Fernando De La Rua déclare l'état de siège. Le ministre de 'éco Domingo Cavallo démissionne le 20 et le président le 21, son remplaçant le 31. Le 2 janvier 2002, le sénateur Eduardo Duhalde est élu par le Sénat. Il propose la loi d'urgence économique approuvée par le Congrès qui propose une dévaluation de 29 pour cent et la suppression de la parité avec le dollar. Le plan économique anti-crise de février est en faveur du rétablissement du peso en monnaie nationale et de