Aristote et le rapport maître / esclave
La politique
Aristote commence son analyse de La Politique par définir ce qu'est une citée. C'est un fait de la nature, pas un fait de la société ( comme on pourrait le penser ) formée de plusieurs villages, de "plusieurs communautés" qui forme donc un plus grosse communauté politique, qui vise un bien, inhérent à chaque homme ( bien apparent, ou bien réel ). Elle est aussi antérieure à la famille, car la cité est un tout, et la famille qu'une partie de ce tout. Si on détache une partie du tout, le tout existe encore, mais la partie n'est alors qu'une partie. La partie est indépendante du tout, comme la famille indépendante de la citée. Elle est aussi antérieure à l'individu, pour les mêmes raisons. L'homme ne se suffit pas à lui même, il a besoin de faire parti d'un tout. L'homme qui se suffit à lui même, qu n'a pas besoin de vivre en communauté est soit une brute, soit un dieu, nous dit Aristote. ( La notion de brute revenant souvent dans la réflexion du philosophe ).
Aristote insiste sur la cité politique, car un pouvoir royal se caractérise par un gouverniement dirigé par un seul homme. Alors que dans une politique, un même citoyen peut être gouvernant et gouverné.
La technique d'Aistote est de diviser et analyser un composé, afin d'avoir une pleine connaissance des éléments pour pouvoir les différencier, et cela dans tous les domaines, afin de résoudre les prolèmes, si problème il y a ( puisqu'on a une bonne connaissance du sujet à traiter )
Dans le deuxième chapitre, Aristote analyse la raison des effets en examinant leur origine., qui expliquerai la formation d'un citée; ainsi une union entre deux être humain est nécéssaire, principalement en vue de la procréation ( tendance naturelle à vouloir laisser sa trace ). Mais une autre autre union fait surface, naturelle elle aussi nous dit Aristote, celle du dominant et du dominé (pour un but de conservation nous dit le philosophe ), thème principal du premier livre de La Politique, par le biais