Aristote, métaphysique a, 1-3

1012 mots 5 pages
1. Comme premier degré que nous décrit Aristote, il y a le désir naturel de savoir. Le mot nature nous viens du grec mouvement, devenir (corruption et génération), donc on parle de continuelle transformation dans le monde qui nous entoure. «Tous les hommes ont un désir naturel de savoir, comme le témoigne l’ardeur avec laquelle on recherche les connaissances qui s’acquièrent par les sens.» Cela représente assez bien l’être humain en général, car celui-ci est en constante évolution. Avec cette évolution viens une certaine curiosité, le monde nous surprend, nous étonne, donc nous cherchons inévitablement à comprendre pourquoi.
Suite au désire naturel de savoir, viennent les sensations que tous et chacun ressentent et avec celle-ci, la mémoire. Le fait de toucher, sentir, entendre, goûter, voir et de s’en souvenir par la suite nous permet de faire des liens dans notre cerveau et à distinguer les différentes formes. Ceux qui retiennent ces différentes sensations et font les liens entre elles dans leurs mémoires sont plus intelligents que ceux qui sont incapables de le faire. Aristote le dit très clairement dans son texte : «La nature a donné aux animaux la faculté de sentir : mais chez les uns, la sensation ne produit pas la mémoire, chez les autres, elle la produit ; et c’est pour cela que c’est derniers sont plus intelligents et plus capables d’apprendre que ceux qui n’ont pas la faculté de se ressouvenir.»
C’est aussi la mémoire qui permet l’expérience chez l’être humain, le fait de se souvenir de plusieurs évènements semblables amène l’expérience et cette expérience qui devient une notion générale amène la création d’une science ou d’un art.
Suite aux sensations et à la faculté à les retenir vient la représentation intellectuelle, que l’ont pourrait aussi appeler des notions abstraites. C’est la reconnaissance des différentes formes que nous avons vues et faire les liens entre elles. Par exemple, tout le monde connaît la forme de la maison (un toit, des murs,

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