aristote

1143 mots 5 pages

POULAIN Edmée TS4

Explication de texte

Il peut sembler que notre but quotidien soit d'atteindre le plaisir le plus fort et le plus durable possible. Nous choisissons dans la mesure du possible a avoir des activité qui nous plaisent, un entourage que nous apprécions et, finalement, une vie la moins désagréable possible, ce qui paraît logique. Parfois, cependant, nos actes nous sont pénibles ce qui ne nous empêche pas de les réaliser car nous souhaitons conserver une bonne ligne de conduite morale. Cela suppose que le plaisir soit opposé au bien. Le texte étudié porte sur les notions de désir et de bien, plus précisément sur leur compatibilité. En effet, Aristote se demande dans cet extrait si le plaisir est forcément un bien. Il est vrai qu'on peut penser au premier abord que , le plaisir étant agréable, il ne peut être que bénéfique et donc toujours un bien. Ce n'est pas la thèse de l'auteur, qui pense pour sa part que le plaisir n'est pas un bien, ou du moins pas toujours. Le texte est découpé en trois parties. Dans la première (de « le fait que l'ami est autre que le flatteur » à « pour lesquelles ils nous fréquentent »), Aristote commence par donner sa thèse, qui fait une différentiation entre le bien et le plaisir en employant l'exemple de l'ami et du flatteur. La compagnie d'un ami n'est pas forcément agréable, car ce dernier cherche à faire notre bien et donc émet des critiques à notre sujet, des vérités que nous préférerions ne pas entendre mais qui nous sont utiles. Le flatteur, lui , complimente et cherche à se rendre agréable en toutes circonstances sans ce soucier de notre bien . Dans la seconde partie, (de « en outre » à « conséquence pénible »), il attire cependant l'attention sur le fait que l'homme ne choisit pas forcément à atteindre le plaisir si cela compromet son honneur. Selon lui il est impossible de désirer conserver

en relation

Juste la fin du monde, jean-luc lafine
4472 mots | 18 pages

– Je n’ai rien dit‚ je plaisantais‚ on ne peut pas plaisanter‚ un jour comme aujourd’hui‚ si on ne peut pas plaisanter... LA MÈRE. – Il plaisante‚ c’est une plaisanterie qu’il a déjà faite. ANTOINE. – Explique.….

montre plus
stupeur et tremplements
1458 mots | 6 pages

Il ne veut que l’humilier et lui faire faire quelque chose pour l’occuper afin qu’elle ne nuise pas à la compagnie. Le fait qu’elle exécute cette tâche plusieurs fois signifie aussi plusieurs arbres gaspillés. Sur ce point, je suis en total désaccord. Je sais que ce n’est qu’un livre mais le message véhiculé comme quoi cela n’a pas d’importance (pour preuve, les arbres ne sont même pas abordés dans le passage)….

montre plus
Laetitia
948 mots | 4 pages

C’est impossible Alors faut pas pleurer ! Faut pas pleurer. Parce que ça va aller je te le promets, ça va aller Parce qu’on est de ceux qui guérissent, de ceux qui résistent, de ceux qui croient aux miracles Pas de ceux qui disent que lorsque les tables bougent,….

montre plus
Abenaki
748 mots | 3 pages

Le vieillard prit l'Anglois par la main, le rassura par ses caresses, & le conduisit à sa cabane, où il le traita toujours avec une douceur qui ne se démentit jamais ; il en fit moins son esclave que son compagnon ; il lui apprit la langue des Abenakis, & les arts grossiers en usage chez ces peuples. Ils vivoient fort contents l'un de l'autre. Une seule chose donnoit de l'inquiétude au jeune Anglois, quelquefois le vieillard fixoit les yeux sur lui, & après l'avoir regardé il laissoit tomber des larmes. Cependant au retour du printems les Sauvages reprirent les armes & se mirent en campagne.….

montre plus
La jeune fille à la perle
773 mots | 4 pages

Quand Vermeer lui demande de poser pour lui, elle sait très bien qu’elle ne peut pas répondre, car elle n’est qu’une simple servante et que ce n’est pas son tableau (p243), mais sa lui fait tellement plaisir de faire se que lui demande son peintre que lorsqu’il lui demande si elle aimerait qu’il la représente avec un balai elle lui répond non elle n’aimerait pas. Elle est même surprise pas ses propres paroles (p243). Ce n’est pas seulement pour son propre plaisir que cette servante fait preuve d’audace et de courage s’il s’agit du plaisir de son maitre elle peut aussi dépasser les limites de son rôle de servante. Au moment ou Vermeer lui demande de regarder dans la chambre noir et qu’elle lui donne une condition : ‘’ à condition que vous me laissiez seule’’ (p.87).….

montre plus
Dissertation : tous les plaisirs sont-ils permis?
671 mots | 3 pages

Le petit Larousse l’explique comme étant une sensation, un sentiment de bien être, comme quelque chose qui plaît, divertit. Dans ce cas, frapper, voler et tuer peuvent également être des plaisirs pour certains individus. Mais ce genre de plaisirs est-il acceptable ? Seait-il possible d’admettre et d’autoriser tous les plaisirs ? En d’autres termes, pouvons-nous réaliser toutes nos envies ?….

montre plus
Frankenstein
588 mots | 3 pages

On distingue souvent un récit dans le récit dans le genre gothique ainsi que de grandes descriptions qui permettent aux lecteurs de s’imprégner de l’histoire réaliste. Le roman de Mary W. Shelley se distingue du roman gothique en plusieurs points. Malgré certaines ressemblances, Frankenstein s’inspire beaucoup plus de la science-fiction, qui à cette époque n’existait pas. Celle-ci se base sur la spéculation scientifique en faisant la description de progrès technologiques possibles. Le remaniement des connaissances, c'est-à-dire la modification des aspects scientifiques est un thème récurrent dans la science-fiction.….

montre plus
Sonnet 52
770 mots | 4 pages

Sonnet 52 Si les larmes servaient de remède au malheur, Et le pleurer pouvait la tristesse arrêter, On devrait, Seigneur mien, les larmes acheter, Et ne se trouverait rien si cher que le pleur. Mais les pleurs en effet sont de nulle valeur : Car soit qu’on ne se veuille en pleurant tourmenter,….

montre plus
aristote
1958 mots | 8 pages

Au XIXe siècle, l’Europe s’industrialise et les ouvriers constituent une classe sociale en expansion, qui prend conscience de ses spécificités et de sa condition. Dans un contexte de lutte contre l’exploitation ouvrière dans un monde du travail où la réglementation sociale est inexistante, naît le socialisme, idéologie nouvelle qui s’articule autour de la lutte des classes et de la révolution pour renverser l’ordre bourgeois. Dans l’empire allemand, le socialisme, organisé autour d’un puissant parti et d’un syndicalisme de masse, devient une force politique et sociale majeure. Au cours du XXe siècle, il se divise entre une branche toujours révolutionnaire, le communisme, et un socialisme réformiste moins soucieux de révolution que d’améliorations concrètes des conditions de vie des travailleurs I/Durant la guerre, les socialistes encouragent les ouvriers à soutenir l’effort de guerre et à travailler toujours plus pour augmenter la production.….

montre plus
Philosophie
2032 mots | 9 pages

------------------------------------------------- CHAP 4 : ------------------------------------------------- L’EGO ET L’INTENTION DU MAL 15/10/10 Devoir à rendre dans 3 semaines Le bien ne fait pas problème, c’et le mal : intentions de l’homme, intention de nuire à quelqu’un d’autre.….

montre plus
L'épicurisme
535 mots | 3 pages

« Partant, quand nous disons que le plaisir est le but de la vie, il ne s’agit pas des plaisirs déréglés ni des jouissances luxurieuses ainsi que le prétendent encore ceux qui ne nous connaissent pas, nous comprennent mal ou s’opposent à nous. Par plaisir, c’est bien l’absence de douleur dans le corps et de trouble dans l’âme qu’il faut entendre. Car la vie de plaisir ne se trouve point dans d’incessants banquets et fêtes, ni dans la fréquentation de jeunes garçons et de femmes, ni dans la saveur des poissons et des autres plats qui ornent les tables magnifiques, elle est dans la tempérance, lorsqu’on poursuit avec vigilance un raisonnement, cherchant les causes pour le choix et le refus, délaissant l’opinion, qui avant tout fait le désordre de l’âme. » Épicure, Lettre à Ménécée.….

montre plus
Le plaisir - philosophie
1467 mots | 6 pages

Pour d'autres, certains plaisirs seront considéré comme étant condamnables . La où se pose la réflexion est : Le plaisir est il indivisible à lui même , ou bien alors existent ils plusieurs sortes de plaisirs ?….

montre plus
L enchanteur
4429 mots | 18 pages

Van Genechten Robin 6QEA Français 1. Identification du livre -Nom de l'auteur: René Barjavel -Titre de l'ouvrage: L'enchanteur -Lieu d'édition: France -Édition: Denoël Collection Folio -Année de parution: 1984 -Nombre de pages : 471 2.L'auteur Biographie: René Barjavel est né a Nyons dans la Drôme Provençale en 1911. Issu d'un milieu modeste, il fait ses études au collège de Cusset, dans l'Allier, puis, ne sachant pas poursuivre financièrement, il occupe divers emplois qu'il quitte rapidement. A 18 ans, il débute comme journaliste au « Progrès de l'Allier » en apprenant le métier sur le tas.….

montre plus
L'influence des pb sur le marché du tabac
1282 mots | 6 pages

Introduction : Avant de se propager dans le monde entier, le tabac existait seulement en Amérique du sud ou celle centrale sous forme de plus de 50 variétés, pourtant, le type le plus important et qui a actuellement un rôle indispensable dans l’économie mondiale est appelé Nicotiana Tabacum, un bien psychoactif dont la matière première est des feuilles séchées d’une plante particulière, avant d’être un produit commercial il avait une fonction religieuse chez les peuples autochtones et qui le considéraient comme un éléments sacré et essentiel pour effectuer leurs mœurs religieux. Son coté commercial n’a bien apparait qu’après son introduction en Virginie, et peu à peu, on a réussi à le cultiver dans les autres continents, et également à produire la cigarette commençant par la création d’une machine dont la capacité est de composer 3600 cigarettes par heure, ensuite, une autre apparaissait et qui pouvait formuler 15000 cigarettes par heure, cependant aujourd’hui, on est capable de produire 8000 cigarettes par minute. Du côté législatif, la production du tabac s’effectue au sein des états ce qui le rend en relation directe avec les pouvoirs publics, c’est-à-dire avec les gouvernements et les administrations ayant un pouvoir réglementaire qui gère l’action politique ou économique.….

montre plus
Peut-on être heureux sans amis?
1276 mots | 6 pages

» Pour Aristote, l'homme est naturellement un être sociable, c'est-à-dire fait pour vivre en société, de sorte qu'un homme seul ne peut être qu'une bête ou un Dieu. C'est pourquoi, pour Aristote, il ne peut y avoir de bonheur accompli que si l'on possède des amis. Le bonheur culmine dans la convivialité et les relations entre vrais amis, sachant que, pour Aristote, la véritable amitié ne peut exister qu'entre êtres vertueux.….

montre plus