Arret manoukian
En l’espèce la société Alain Manoukian engage des négociations avec les consorts X en vue de la cession des actions composant le capital de la société Stuck. Un projet d’accord est conclu le 24 septembre 1997, il comporte des conditions suspensives devant être réalisé avant le 10 octobre de la même année puis reporté au 31 octobre. Le 16 octobre la société Manoukian accepte la demande de modification et reporte la date limite au 15 novembre, qui est resté sans observation de la part des consorts X. Le 13 novembre, un nouveau projet de cession a été consenti par la société Manoukian. Cependant le 24 novembre la société Manoukian apprend que les consorts X avaient consenti avec un tierscontractant, la société les complices qui était manifestement au courant, une promesse de cession des actions de la société Stuck.
La société Manoukian assigne les consorts X et la société LES COMPLICES à réparer le préjudice résultant de la rupture fautive des pourparlers.
Cette action fut accueillie par la cour d’appel de Paris, le 29 octobre 1999. Les consorts X condamné à verser 400 000 francs à titre de dommages et intérets à la société Manoukian se pourvoit en cassation. La société Manoukian, qui n’a obtenu d’une part l’indemnisation du à la perte de chance et d’autre part la mise en cause de la société les complices, qui à finalement obtenu