Une lecture dévorante

L’histoire prenante du roman « On ne voyait que le bonheur » de Grégoire Delacourt. Le livre parle d’un homme, nommé Antoine qui raconte à son fils Léon et à son psychologue sa vie. Antoine a eu une enfance très difficile après le départ de sa mère qui l’a abandonné jeune suite au décès d’une de ses sœurs.

Grégoire Delacourt est un écrivain et publicitaire, né en 1960 à Valenciennes. Il a écrit 4 livres, son premier publié en janvier 2011. Le livre commence par le champ lexical de la vie puis enchaine sur la première partie qui est composé d’une cinquantaine de petits chapitres. J’aime bien le système de chapitres courts car moi qui ne suis pas une grande lectrice je pouvais m’arrêter de lire sans couper en pleins milieu de chapitre. Chaque titre de chapitre représente une valeur le plus souvent une somme d’argent correspondant au prix de l’action décrite et de la scène du chapitre. J’ai beaucoup apprécié ce roman car les réponses à nos questions sont dite plus tard dans le livre ce qui fait durer le suspense et donne au lecteur encore plus envie de finir le livre pour savoir la fin. Il y a un passage que j’ai bien aimé et qui pour moi est totalement vrai et décrit très bien le titre du roman, c’est quand Antoine dit que sur les photos on ne voit pas l’amour bref et infini, immense et tragique mais qu’on voit seulement en image un amour parfait, qu’on ne voit pas ses larmes, ses insomnies, le mal qui infusait on ne voit que le bonheur. Ce que j’aime aussi dans ce livre c’est que l’histoire en même temps d’être triste et humoristique ce qui pour moi montre que ce n’est pas parce quelque chose va mal qu’on doit voir du négatif au contraire il faut voir le bon côté des choses et sourire à la vie. J’ai trouvé la vie d’Antoine très dur et émouvante, il a su relevé la tête et profiter de la vie avec tous les drames qui lui sont arrivés ce qui montre bien le sens de la phrase « Alors, finalement, nos