Au bonheur des dames - zola
Denise Baudu, une jeune femme fragile de 20 ans se voit forcée de quitter sa ville natale avec ses deux petits frères, Pépé et Jean.
Un an après la mort de leurs parents, elle est contrainte d'aller à Paris chez son Oncle qui avait proposés de les acceuilllir.
Mais les temps sont durs pour Le Vieil Elbeuf, la boutique de l'oncle, et ne pouvant pas compéter Le Bonheur des Dames, la boutique d'en face, il se voit dans l'incapacité de les acceuillirs.
Denise, fascinée et apeurée, postule pour la grande surface, Jean part travailler chez un sculpteur d'ivoire, et Pépé chez une nourrice.
Denise se fais embaucher au rayon confections, avec la demande de Mr Mouret lui-même, le directeur de cette usine.
La compétition est dure, et la petite Denise ne fais aucun pourboires, malgré son don pour la vente.
De plus, la nourrice de Pépé est chère, et Jean, ne comprenant pas les difficultés de sa sœur n’arrête pas de se créer des histoires rocambolesques et demande toujours plus d'argent.
Denise loge dans une minable chambre du bonheur des Dames, ne sort pas, et travaille la nuit pour tout payer.
Un jour, elle accepte de partir en week-end avec son amie Pauline, du rayon lingerie, et son Fiancé. Elle y rencontre Deloche, un homme aussi timide qu'elle, qui lui déclare ses sentiments pour elle, mais elle décline, se croyant amoureuse de Hutin, un vendeur hypocrite qui se moque d'elle dans son dos.
Jouve l'inspecteur lui fais des avances, et effrayée, elle les décline. Celui-ci, va voir Bourdoncle, l'allié de Mouret, et lui dit qu'elle a une liaison avec un homme, alors qu'elle discutait avec son frère dans les caves.
Mouret, apprenant le renvoi de Denise, est tétanisé, mais ne peux protester, pour ne pas éveiller de soupçons.
Denise emménage chez Bourras, un voisin, avec Pépé, et l'aide en faisant des petits travaux.
Mais les temps sont durs pour tous les commerçants artisanaux de Paris, et il l’accueille par charité.
Mouret