Au revoir là-haut (résumé)
Edouard est retombé dans la morphine, il devait en avoir à longueur de journée mais cela ne courrait pas les rues. Un jour, Albert était aller chercher de la morphine a un dealer « le grecs » lorsqu’il était en train de s’échanger la morphine contre de l’argent, le Grec s’est enfuit et s’est réfugié dans un immeuble, Albert le poursuivit, le dealer s’était caché dans une salle avec un porte en bois, Albert décida de prendre la porte et assomma le Grec. Albert a 2 doigts de s’évanouir, se demanda : « es ce que je l’ai tué ? ». Ensuite le Grec se relava couteau a la main et enfourcha la main d’Albert, Albert repris la porte et lui mis de nombreux coups et s’enfuit. Il prit un taxi et termina la route a pied. Ensuite dans le chapitre, on apprend que les deux personnages (Albert, Edouard) n’ont pas beaucoup d’argent, pour financer la morphine, le loyer, la nourriture et les vêtements ils s’en passaient. …afficher plus de contenu…
Péricourt, après son malaise dans le Jockey Club, Madeleine et le médecin Blanche s’occupait de lui. Une fois sortit se son lit et remis de son malaise, il eut un coup de chagrin, il repense à son fils Edouard et à sa mort. Ensuite il se rappela qu’il ne m’aimait pas ses enfants (il ne m’aimait pas Edouard car, il était trop efféminé et insolent avec ses dessins, en plus il pensait que le dessin ne s’était pas pour les hommes). Et le 11 novembre la France avait décidé que toutes le faille devait se recueillir en même temps, le même jour, les cimetières étaient bondés. Madeleine s’approchait de la cabane de la famille Péricourt et elle ne voyait pas le nom de son frère, M. Péricourt n’allait quand même pas mettre le nom de son, qu’il n’aimait pas. Ensuite, il alla voir Labourdin et lui demanda de faire le plus beau monument commémoratif de son arrondissement de Paris. Labourdin se demande pourquoi me demande-t-il cela alors que M. Péricourt