Audit interne et entreprises familiales
Introduction
Récemment, la création des entreprises familiales et patrimoniales est devenue une tendance florissante dans l’économie européenne notamment dans l’économie française. Cet afflux a été notamment orchestré par le marketing bancaire de proximité qui voulant distribuer des crédits a flots aux TPE et aux PME. Une telle situation est amplifiée par une meilleure structuration du marché monétaire et marché financier au sein de l’union européenne qui se manifeste surtout par la création d’une monnaie unique et d’une banque centrale communautaire, en plus de la création des plateformes de marchés financiers classés parmi les plus convoités au monde permettant aux particuliers de découcher plus de financement et d’encourir moins de risques. Par ailleurs, la fiscalité européenne notamment française tient un certain rôle de prévoyance sociale à l’issu des différentes assouplissements données aux volontés familiales d’entreprendre leur économie et de constituer leur propre patrimoine. Une telle solution participe mieux à l’éradication du chômage et à la promotion de la culture d’entreprise, en considérant que cette dernière était un de levier efficace anti-chômage employé aux Etats Unis après la grande dépression de 1929. Toutes ces circonstances réunies ont poussé la prolifération de la création de l’entreprise familiale qui est devenu de nos jours un pilier majeur de la sphère de production dans presque tous les pays européens. En France l’actionnariat familiale détient aujourd’hui presque le ¾ des entreprises, une chiffre qui représente une prépondérance majeure à la comptabilité nationale et la planification économique doit en faire une base solide de réflexion. En principe, ces entreprises fonctionnent comme tous les autres, affrontent les mêmes risques et sont soumises à des règlementations communes. Dans ce contexte, l’environnement interne et l’environnement externe affectent la recherche de la rentabilité de