Aupr s d un mort
Le soir du 23 mai, l’homme curieusement encapuchonner entra dans La Taverne. L’expression distordue qui apparue sur son visage lorsqu’il entendit le fracas présent dans La Taverne fut révélatrice. Cet homme, était le genre d’homme hypocrite qui appréciait faire des choses qu’il n’acceptait point si cela venait des autres. Son élégante cape sombre indiquait un besoin de ne pas être remarquer, ou, au contraire, un moyen de se différencier des autres. Ses cheveux étaient cachés par sa capuche, mais quelques mèches éparses, blondes et ternie par la pluie sale étaient apparentes. Il buta contre le tabouret d’un client à cause de ses belles chaussures trop grandes, celui-ci se leva et jura d’une façon digne d’un homme saoul ayant passé la dernière heure à boire dans La Taverne.
La Taverne était un lieu plus ou moins privée dans lequel les hommes bien dans leurs pompes venaient tuer le temps. Nombre de ses clients étaient de jeunes hommes de la « haute » profitant de l’argent de leurs parents. Ce café luxueux de Paris appartenait à un riche marchand pensant que l’éclairage avait un « je ne sais quoi d’irréel », alors, selon ses ordres, ses employés laissaient la salle principale dans une obscurité naissante et grandissante au fil de la soirée. Notre homme continuait son trajet vers le comptoir d’un pas de plus en plus aisé. Arrivé à celui-ci, avant de s’assoir, il enleva sa cape et sa capuche, laissant apparaitre une belle et longue chevelure blonde cendrée, des hanches apparente et une poitrine de femme. Une femme grande aux courbes délicates étant étrangement habiller en homme de la haute société. Son entrée avait été troublante, mais si l’éclairage avait été plus dense et sa cape moins sombre, le fait que ses habits étaient bien trop large aurait été visible.
La moitié du café la regardait maintenant d’un air étonné et amusé, un sourire béat aux lèvres. Son visage harmonieux, son sourire éclatant, sa chevelure bien que terne et mouillée étant