té Plus les générations se succèdent, et plus les conflits sont de vigueur. L’évolution de notre société ces 50 dernières années a été quasi-exponentielle ! La mixité, l’évolution des mœurs, toutes ces petites briques déposés au fil du temps ont amélioré notre compréhension l’un envers l’autre, d’une génération à une autre. Les manifestations et autres mouvement anti-autorité nationale ont vus le jour lors, par exemple, de l’année 1968. La jeune population étant devenue réfractaire à l’ancienne et vieillissante autorité. La révolution sexuelle s’est donc imposé plus que naturellement chez les jeunes de ces années-là. Les générations plus jeunes s’interrogent quant à la morale et valeurs déposé par les anciennes. De cette idée, André Gide et Dany Robert Dufour, tous deux écrivain des respectifs « si le grain ne meurt » et « le divin marché : la révolution culturelle libérale », ont essayé de comprendre la différence de mœurs entre nos générations. Alors que le « Rapport des renseignements généraux » et le « Code pénal » sont tous deux des documents issus du gouvernement et donc très objectif. Quel équilibre faudrait-il entre autorité et liberté ? Dans un premier temps, nous verrons l’évolution des relations entre générations, puis dans un second temps, les mesures prisent par notre société afin d’inhiber les déviances de mœurs.
Tout d’abord, dans l’extrait « Si le grain ne meurt » d’André Gide, la relation qu’a l’enfant avec l’autorité parentale. La mère souhaite un obéissante sans faille alors que le père amadoue l’enfant. Au lieu d’obéir à sa mère, il l’a défi. Alors que d’un mot, son père obtient tout ce qu’il veut de lui. Toute cette relation est basée sur la façon de communiquer l’autorité envers l’enfant. Croyant bien faire, la mère impose son autorité. C’est du même acabit pour le ministre de la jeunesse et des sports, croyant bien faire en ouvrant ce centre sportif dédié aux jeunes. La déclaration de l’étudiant fait donc face à un défi de la