Axe de lecture zone Apollinaire
I: La ville comme lieu du multiplie
1. La ville comme motif du modernisme
2. La ville sous un jour quotidien
3. La revendication d'une esthétique nouvelle .
II : La ville comme un lieu spirituel.
1. La coexistence paradoxale : modernisme et religion.
2. Un lyrisme de l'éxpérience.
3. La ville, changeante mais peuplée de symboles
2eme axe :
I/ Un poème à caractère autobiographique
A/ Ambiguïté de l'énonciateur
-Emploi de "tu" (v.1,3 et 9) et "je" (v.23)
-Utilisation du "tu" pour les remarques dépréciatives. C'est un "tu" des regrets.
Le "je" porte sur l'affirmation de soi
B/ Les souvenirs de l'enfance, des études
Education scolaire à cette époque => obligatoire d'apprendre le grec et le romain. Ici on a un reniement de la culture ancienne (v.3).
Souvenirs d'une enfance pieuse non reniée. Eloge du christiannisme non ironique.
Chp lexical de la faute, du pêché, du regard sur soi.
C/ Encrage spatio-temporel
-Paris 15ème et 17ème
-Habite à Auteuil, ts les matins il passe sur le pont Mirabeau
-Mmt de l'écriture = année 1912 = son passé
-Evocation très concrète de paris + emploi de mots modernes comme "jolie sténodactylographe". C'est la première qu'on les voit ds un poème.
II/ La conception moderne de la poésie
A/ La modernité comme source d'inspiration
-Poésie de la ville --> déambulation urbaine, à travers la ville ("rue Aumont","Thieville").
Titre donne un contexte urbain. Apollinaire n'a pas peur de se servir de mots à caractère dépréciatifs. pour lui, tout est source de poésie même la laideur de la vie. Vue valorisante des choses du quotidien.
L'auditif et le visuel se répondent (v.16). Une correspondance s'adresse à tous les sens. Ce poème permet aux 5 sens de s'exprimer. cette modernité touche aussi le monde industriel. Réference à l'aviation. 1910-1912 --> début de l'aviation.
-Référence au Christ par la mm occasion. Il est éternel --> s'inscrit ds une