Balzac
Tout deux, s’apprêtaient à toucher la poignée lorsque soudain, ils sentirent derrière eux, un souffle, comme si quelqu’un était là. * C’est bizarre mais j’ai l’impression que si on se retourne, on va le regretter…, dit Mia. * Mais non, tu t’inquiètes encore pour un rien, t’es vraiment une peureuse !
Ils continuaient à se rapprocher de la porte quand tout à coup, un souffle derrière eux les fit sursauter.
Tout deux poussèrent un cri, et se mirent à courir, à la vue du