Balzac
L’emploi d’un vocabulaire formel (formules administratives): (« j’ai l’honneur de vous annoncer ») authentifie son origine,police. Son réalisme tient aussi à l’agrément des témoignages du médecin de la préfecture et à celui duvicaire de l’église Bonne-Nouvelle (« témoins qui ont signé l’acte de décès »).
privilégie le sentiment à la raison et explore des thèmes comme le rêve, le fantastique, le mystère ou encore la mort.
Beaucoup de mort
Le réalisme est un mouvement artistique moderne apparu en Europe dans la seconde moitié du XIXe siècle. Ainsi, dans « Ferragus », roman de Balzac, publié en 1833, le romancier nous fait découvrir Paris comme un personnage à part entière de l’histoire et non plus un lieu
L’incipit de ce roman et la description inhabituelle de Paris permettent de mettre en place le cadre spatial mais également l’ambiance qui y règne sur ce lieu.
En effet, Paris est comparé à un monstre, dès la première ligne et sur la totalité de l’incipit (« des monstres » l.1 « Monstre complet » l.3 « le monstre » l.12 « une créature » l.22). Et chaque partie de cette ville est une partie de ce monstre. « Les greniers » sont comparés à une « espèce de tête pleine de science et de génie », « les premiers étages » à ses « estomacs » et « ses boutiques » à de véritables pieds » ces comparaisons rendent une sensation d’insécurité. Ce monstre bouge « ses bras se remuent » (l.6), « il se secoue lentement » (l.7) et ce monstre bouge « ses bras se remuent » (l.6), « il se secoue lentement » (l.7) et ces « articulations craquent » ce qui donne effet vivant à cette ville. Aspect visuelle pour les lecteur.
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L’utilisation d’une telle description de Paris insère une ambiance dangereuse. L’énumération des différentes parties du corps ligne 3 insiste sur cela. Elle est décrite comme une ville silencieuse et sombre (l.14 « silencieux » l.13 « sombres paysages ») et