Banque
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I L’INTRODUCTION PROGRESSIVE DU MARKETING DANS LE SECTEUR BANCAIRE.
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Il apparaît difficile de placer le client au cœur de l’action des banques, celui ci n’étant pas en mesure d’exprimer fidèlement ses besoins, faute de connaissance suffisante sur le détail des offres. La technologie permet cependant de replacer les attentes du client au cœur de la stratégie, via les logiciels de relation client permettant :
• La collecte des données clients, leur analyse et valorisation sous forme de segments • La disponibilité accrue de la banque vis à vis du client : compte en lignes, DAB.. • L’interactivité client – banque via les outils d’échange (mail, banque téléphone…) • La personnalisation de l’offre par la segmentation de la clientèle, et la mémorisation de la relation dans les bases de données (dates des souscriptions de placements, achat voiture, âge des enfants…)
II LE CAS DU CLIENT DE L’OFFRE BANCAIRE
A / Comportement
Risque perçu :
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La minimisation du risque par le client de la banque donne une dimension particulière au concept de satisfaction et de fidélisation. Le client est poussé à ne pas changer de banque, sentant qu’il est dans une « bonne maison ». Cette tentation est naturelle lorsque la banque a prouvé que le risque est bien minimisé sur les produits ayant déjà composé l’équipement bancaire du client.
Par ailleurs l’infidélité du client a sa banque génère un coût non négligeable pour celui ci :
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Le client est donc relativement bloqué dans sa relation, ce sentiment concerne 1 client sur 3.
Sondage CSA / LA TRIBUNE réalisé par téléphone le 14 février 2006. :
|Si vous souhaitiez changer de banque estimez-vous que cela |Ensemble des Français |
|serait très simple, assez simple, assez compliqué ou très | |
|compliqué ? |