Barbare rimbaud
| Une dynamique de la destruction
Non seulement il n'existe plus de repères, mais le poème fait œuvre de destruction violente. Les images renvoient toutes à l'anéantissement par les flammes'(les « brasiers », les « feux », les « volcans ») et par la glace (les « rafales de givre », les « glaçons », les « grottes arctiques »),