Bardamu
Elle accepté sa situation de "petite gens" et s'y résigne. C'est, selon elle, son destin et elle pense ne rien pouvoir y changer: "elle croyait au fond que les petites gens de sa sorte étaient faits pour souffrir de tout, que c'était leur rôle sur la terre" , comme si elle était coupable de quelque chose et que donc elle devait payer; C'est une sorte de martyr. Même si elle est malheureuse à l'idée que son fils parte à la guerre (elle pleure tout au long du passage), elle s'y résout quand même car elle est un peu naïve, et croit ce qu'on lui dit: "elle croyait aux mots qu'on lui disait pour m'enlever". Son opinion sur la guerre est assez "légère": "les tués pour elle c'était rien que des accidents, comme aux courses, y n'ont qu'à bien se tenir, on ne tombait pas" .
Cette mère représente