Charles Baudelaires est un poète du 19e s il est un des classique de la littérature fr, et s'impose grâce à un style marqué par le spleen et l'idéal de concept qu'il développe dans son très controversé recueil de poésie « les fleurs du mal » . Ce recueil est divisé en plusieurs sections tel que spleen et idéal justement ou encore tableau parisien d’où est issu le sonnet que nous allons étudier : à une passante qui dresse le portrait d'une femme rencontrée furtivement dans la rue .
V1 Oppression …afficher plus de contenu…

Le poète est détaché de la rue ...La rue se referme sur lui.
V2 Énumération adj épithète « longue,mince»=beauté moderne + en se rapprochant « en grand deuil »= habillé de noir +allitération en «d» = renforcement + oxymore «douleur majestueuse» il trouve de la beauté dans la douleur . Cela fait d'elle une fleur du mal.
V3 Passé simple = action brève =temps ralentis le poète est dans une contemplation + Fascination du mouv de la main = synecdoque car sa main = le mouv de tt son corps d'une démarche digne
V4 «soulevant , balançant» = participe présent = description de sa démarche souple et élégante + « feston et l’ourlet» champ lexical du vêtement = mouv lègé et régulier appuyer par une découpe en 4x3.
S2 …afficher plus de contenu…

V2 Parallélisme de construction = montre leurs similitudes même dans la séparation + chiasme «tu» «je» = renforce cette idée de ressemblance même si ils ne se rejoignent pas.
V3 Interjection lyrique , discoure direct s'adresse à la femme «j'eusse» conditionnel passé = irréel ,mais il l'aurait aimé si ... «qui le savais» comme un reproche car elle est parti quand même. Mtn lui aussi est en deuil = pouvoir de cette femme mystique qui peut aussi être cruelle.
Conclusion : portait d'une femme : enivrante , puissante et cruelle cela fait donc elle une
Allégorie des fleurs du mal car elle provoque à la fois plaisir et souffrance spleen et idéal …