Baudelaire
Tenez, en parlant d’amour, le premier poème de cette anthologie peut être introduit : « La charogne » (des « Fleurs Du Mal » bien entendu). Alors la ! C’est quand même très spécial. L’auteur nous raconte qu’e se baladant avec une femme, il aperçoit un cadavre en décomposition. Et comme chaque poète qui se respecte, il ne peut s’empêcher de se rapprocher de celui-ci. Il commence alors une description ma foi forte sympathique avec de comparaison avec certains mets culinaires. En fait avec ce poème, Baudelaire veut nous rappeler l’importance de la vie. Il essaye de nous faire comprendre aussi que la vie n’aurait aucune véritable importance sans la mort. C’est pour cela que sa dernière phrase fut (en s’adressant à cette pauvre dame) qu’elle finirait comme ce cadavre… Charmant.
Nous pouvons à présent passer au deuxième poème de cette anthologie. Pour celui-ci, j’ai choisi de prendre un