Les forces
Blackberry Internet Service. Grace à ce service, vous recevez tous vos mails quel que soit le fournisseur en temps réel sans faire appel constamment à votre batterie afin de chercher l’information. De plus, les pièces jointes sont compressées automatiquement afin de s’adapter à l’affichage de votre terminal et gagner en rapidité. Certaines applications tierces comme Twitter ou gTalk peuvent aussi tirer profit du Push.
La LED de notification. Même si ce point n’est pas l’apanage des BlackBerry uniquement, on ne la retrouve pas sur tous les téléphones de la concurrence et permet d’être notifié d’un nouvel évènement sans allumer constamment l’écran.
Le clavier. Apres avoir goûté au clavier des Blackberry passé un temps d’adaptation, difficile de revenir en arrière. Le confort de frappe et la vitesse de saisie sont sans commune mesure avec un clavier virtuel.
La synchronisation avec Lotus Notes. A ma connaissance, seuls les Nokia et les BlackBerry peuvent le faire nativement.
L’autonomie. Il est possible de programmer une extinction automatique du terminal afin que celui-ci s’éteigne automatiquement. On se demande pourquoi cette fonctionnalité n’existe pas sur tous les téléphones, quel que soit la marque. En pratique, il est possible de disposer d’une autonomie de trois à quatre jours, ce qui est très confortable au quotidien.
BlackBerry Messenger. Même si il existe une multitude de messageries instantanées sur le marché, BBM est de loin la plus performante avec toutes ses notifications en Push, la possibilité de créer des groupes, d’échanger des photos conservées au sein du groupe en favori, d’envoyer des notes vocales, de voir si le message envoyé a été lu, etc …
La sensibilité. Ce n’est que purement subjectif mais il me semble que les BlackBerry accrochent mieux le réseau surtout en limite de couverture.
Les faiblesses
La taille de l’écran. A part le Torch ou le Storm avec clavier physique coulissant ou absent, les BlackBerry bénéficient d’un