Benjamin Constant Adolphe
I) Le discours d’Adolphe, source de souffrances chez Ellénore
II) Ellénore met Adolphe face à lui-même
1) Cette mise à l’épreuve est lié à la découverte de la lettre, qui est la source du chagrin d’Ellénore « oui je suis coupable : cette lettre… » (l.3-4) Ellénore est fortement perturbée par cette découverte « agitation extrême » l.1, « front brulant » l.2, « contraction terrible » l.2. Si cette lettre est la raison de son tourment, on n’en parle que très peu. Adolphe préfère évoquait le passé « Pouvons-nous jeter un regard sur les trois années qui viennent de finir […] ? » l.13-16. Cependant ces souvenirs ne sont plus aujourd’hui, ce qui peine encore plus Ellénore. Adolphe utilise énormément de phrases interrogatives, ce qui montre qu’il n’est pas sure, il n’affirme rien, il ne fait que poser des questions (de la ligne 11 à la ligne 16). Ellénore est déçue, elle attendait une position sure mais Adolphe hésite « Sans doute [….], un jour, peut être… » l.20