Bertrand
2) L'ART DE LA PAROLE
C'est l'art de tourner les choses dans le sens que l'on veut.
Pas naturelle : « il me semble que vous avez appris cela par cœur » pourtant : « la nature nous oblige »
champ lexical du plaisir : « passion », « charmer », « beauté » (répété 2 fois), plaisir...
Ca montre que pour lui être infidèle ça le rend heureux, il prend du plaisir à être infidèle
C'est pas sa faute, il la rejette sur les femmes : « toutes les belles ont droit de nous charmer »
Il les désigne par « elles » et « toutes »
La femme est comme un objet à conquérir, il utilise un champ lexical de combat pour séduire les femmes : « douce violence' », « combattre », « par des larmes », « vaincre », « conquête à faire »...
CONCLUSION : L'anticonformisme est donc le contraire du conformisme . On emploie ce mot pour désigner l'attitude d'opposition à celui-ci, voire l'hostilité aux normes, aux usages établis[1].
La norme, du latin norma (équerre, règle), sert en effet de modèle, de référence, voire de règle. Elle correspond à l'état habituel, conforme à la majorité des cas[2]. Donc, à la moyenne, à la normale.
Tout individu qui, en société, s'écarte de la norme, est ainsi souvent considéré comme anormal, et même parfois, déviant. À ce sujet, André Gide (écrivain français du XXe siècle) écrit : « Toute pensée non conforme est suspecte. » Suspecte aux yeux de ceux qui se conforment précisément à une norme de pensée et souvent, de comportement. Ces individus finissent par se ressembler, tant leur désir de mimétisme, c'est-à-dire d'imitation, est grand. Ainsi Marcel, héros du Conformiste (1951) d'Alberto Moravia, se réjouit d'être comme tout le monde.
L'anticonformiste, lui, est souvent un individualiste, mot dérivé du latin dividere, qui signifie « diviser », « séparer ».Il est « séparé » de la masse, de son milieu, parce qu'il ne se conforme pas aux modèles édictés par la majorité. L'anticonformiste refuse