Bibliographie

Dahan-Gaida, Laurence, «La fin de l’histoire (naturelle) : Les particules élémentaires de Michel Houellebecq», Tangente, Besançon, Numéro 73, 2008, p.93-114

Noreau, Pierre-Paul, «Chroniques du bizarre», Le Soleil, Québec, news·20000630·Ls·0132, 2000, p. D3

Hache, Victor, «Houelleberq “Le rock est ma nature” », l’Humanité, Saint-Denis, news·20000526·HU·0047, 2000, p.22

Moran, Jacques, «Michel Houellebecq auteur et citoyen», l’Humanité, Saint-Denis, news·20010910·HU·0039, 2001, p.18

Résumés des articles

Dans les Chroniques du bizarre, il est surtout question de son nouveau disque, Présence humaine. Malheureusement, son lancement n’a pas été très populaire. La plupart des paroles de ses chansons ne proviennent pas de lui. C’est des poèmes tirés du recueil Le sens du combat, Rester vivant et Renaissance. Malgré son inexpérience en scène, il a tout de même fait une petite tournée de six concerts en France en scandant. Il se qualifie de scandeur, car il le chant est très nouveau pour lui. Avant, il était un informaticien du gouvernement français. Cela ne l’empêche pas d’avoir de nombreux projets. Il a d’ailleurs été invité à partager une soirée d’un festival de chanson au Québec avec Maurice Dantec, un auteur de roman noir. Il était séduit par l’idée et enthousiaste de s’exercer devant le public québécois. Pour ce qui est de ses projets, il s’oppose à l’idée de commencer le cinéma, car c’est un art qui vieilli mal d’après lui. Cependant, il ne repousse pas l’idée d’écrire une pièce de théâtre un jour.

Commentaires

Michel Houellebecq ne fait certainement pas l’union des critiques par ses œuvres aux allures scandaleuses. Dans Les particules élémentaires, il reproduit un portrait de l’humanité radicalement négatif qui lui a valu être qualifié de «misogyne», «pornocrate», «misanthrope» et «réactionnaire»[1]. Selon lui, cette réaction était causée par la difficulté des critiques à accepter les vérités tabous.

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