Boudot Thaïs Fouillé Sarah

M1 GHBV

DM HRE: Bilan hydrique du Mono Lake Précipitation et évaporation
1) BILAN HYDROLOGIQUE
En entrée dans le Mono Lake nous avons : l’eau des précipitations, l’eau du ruissellement hortonien, l’eau provenant du ruissellement de sub-surface. De plus nous avons une relation avec la nappe souterraine, ce qui peut constituer un apport d’eau dans le lac. Les sorties sont l’évapotranspiration ETR, la variation du stock ∆S dans lesquelles il peut y avoir des actions humaines, telles que des prélèvements pour l’irrigation nous les appellerons autres pertes dans notre bilan hydrique. Les autres pertes correspondent à la variation de stock, le terme est utilisé pour signifier l’impact anthropique sur la ressource. Le bilan hydrique du Mono Lake prenant en compte toutes les composantes possibles est : P + R + GW = ETR + ∆S + autres pertes

2) PRECIPITATION
A) Méthode Arithmétique
Nous utilisons la formule suivante : P=Pmoy (m) x A (m²) Pmoy = i n (Pi =Précipitations par stations, n = nombre de stations)

Pmoy= (0.602 + 0.318 + 0.281 + 0.536)/4 = 0.434m

Surface du Mono Basin = 1748 km2 = 1748x106 m2 Surface du Mono Lake = 215 km2 = 251x106 m2
Volume des précipitations de Mono Basin = 0.434 × 1748×106 = 7.59×108 m3 Volume des précipitations de Mono Lake = 0.434 × 215×106 = 93.4×106 m3 Les volumes des précipitations obtenus avec cette méthode sont de 7.59×108 m3 pour le mono Basin et de 93.4×106 m3 pour le Mono Lake. 1

B) Méthode de Thiessen
On rejoint les stations pluviométriques les plus proches du lac par des droites, on trace ensuite leur médiatrice. Le point d’intersection des médiatrices permettra de séparer le lac en polygone, nous permettant de déterminer des aires d’influence en fonction des stations de mesures. Dans cet exemple, on prend en compte les trois stations les plus proches du lac qui sont : Bodie, Mono Lake et Cain Ranch. On trouve alors 3 aires d’influences. Avec cette méthode, on utilise la formule