Biographie de Gustave Courbet et le r alisme
Pg1: Page de garde
Pg2 : Table des matières
Pg3-7 : Biographie
Pg8 : /
Pg9 : Le réalisme
Pg10 : /
Pg11-14 : Analyse de « Un enterrement à Ornans »
Pg15-17 : Analyse de «Les casseurs de pierres»
Pg18 : /
Pg19 : / Documentation
Pg20-27 : Source des œuvres
Pg28 : /
Pg29 : Légende de couleur et lexique
Biographie
Il nait un 10 juin 1819, à Ornans. La légende veut qu’il soit né en pleine nature. Courbet arrive à Paris à l’âge de 21ans mais est déjà mal à l’aise avec les convenances sociales. Son père veut le voir polytechnicien ou avocat mais il commence déjà à peindre. Ce sera Charles de Steuben qui lui enseignera à ces débuts.
En 1841 il envoie 2 œuvres au salon mais sont refusées. Il peint des copies pour vivre et envoie de l’argent à ses parents. Par après il entreprend un voyage de plusieurs jours en Normandie. Ensuite il se débrouilla pour avoir un atelier dans lequel il peint beaucoup de portraits, l’année suivante son autoportrait avec « Le chien noir » est reçu au salon d’honneur.
2ans plus tard on lui propose de partir en Hollande, ce qui fut un choc esthétiques. Il gagne la médaille d’or durant l’année 1849 au salon pour « Un après diner a Ornans »
Son œuvre « Un enterrement à Ornans » fera beaucoup parler d’elle car considéré comme scandaleuse par certains mais ne se vend pas chère. Avec les années, Courbet se rapproche des hommes de pouvoir en les fréquentant à contre cœur et leur vendra des peintures. Ces œuvres font tellement scandale que chez certaines personnes à leurs diners il y avait des petits panneaux expliquant qu’on ne devait pas parler de lui. Exactement comme le recherchait Courbet. Alfred Bruyas, grand collectionneur de peinture avec qui il s’entendra très bien par la suite, lui acheta plusieurs œuvres. Une des œuvres achetés par Alfred Bruyas où il y est même représenté est « La rencontre »
Lors de l’exposition universelle de Paris, ses œuvres furent refusé