Biographie d'emile zola
Émile Zola, né à Paris le 2 avril 1840, est un écrivain, journaliste et homme public français, considéré comme le chef de file du naturalisme Il est le fils unique de Francesco Zola[ ]et d’Émilie Aubert. Son père, ingénieur de travaux. Publics, ancien officié subalterne italien, meurt en 1847 après avoir été responsable de la construction du canal Zola à Aix-en-Provence. Émilie Aubert, sa mère, totalement démunie, s'occupe de l’orphelin avec la grand-mère de l’enfant, Henriette Aubert. Restée proche de son fils jusqu’à sa mort en 1880, elle a fortement influencé son œuvre et sa vie quotidienne.
C’est l'un des romanciers français les plus populaires[]. Engagé dans les mouvements politiques de son époque, les dernières années de sa vie sont marquées par son engagement dans l'affaire Dreyfus avec la publication en janvier 1898, dans le quotidien L'Aurore, de l'article intitulé « J’Accuse…! » qui lui a valu un procès pour diffamation et un exil à Londres la même année. Sur le plan littéraire, il est principalement connu pour Les Rougon-Macquart, fresque romanesque en vingt volumes dépeignant la société française sous le Second Empire et qui met en scène la trajectoire de la famille des Rougon-Macquart, à travers ses différentes générations et dont chacun des représentants d'une époque et d'une génération particulière fait l'objet d'un roman(Germinale, Nana…). Il a été accusé de trahison pour avoir défendu l’affaire Dreyfus. Il a écris aussi quelques nouvelles peu connu comparé au succée de ses roman (« La mort d’Olivier Becaille »)
Le 29 septembre 1902, de retour de Médan où il avait passé l'été, Émile Zola et son épouse Alexandrine sont intoxiqués dans la nuit, par la combustion lente résiduelle d'un feu couvert, produite par la cheminée de leur chambre.[
Marie-Lou Dariel