Bioéthique
La vie. Ou commence-t-elle ? Ou s’achève-t-elle ? Cette délimitation peu varié selon les individus.
La naissance du premier « bébé éprouvette » remonte à 1978. Pour la première fois la conception de l’enfant s’est faite en dehors du corps de la femme. Aujourd'hui, c’est un à deux enfants, qui, dans une classe de maternelle, sont nés grâce à une aide médicale à la procréation. On doit cela au progrès scientifique. Mais des lors un problème se posait déjà ! En effet la population à majorité catholique en France ne pouvait concevoir que ce n’était plus Dieu qui donnait la vie mais bien l’Homme. Désormais la fécondation in vitro est de plus en plus utilisée et semble avoir été acceptée par tous. Cependant la science ne cesse d’évoluer
La bioéthique :
* www.etatsgenerauxdelabioethique.fr/presentation-generale/la-bioethique-en-quelques-mots.html
Définition : Bioéthique vient de « bio », qui veut dire « vivant », et d’« éthique », qui signifie « ce qui est bon et utile pour l’homme ». La bioéthique s’intéresse aux activités médicales et de recherche qui utilisent des éléments du corps humain. Par exemple : * la greffe d’organes, de tissus (cornées, peau…), de moelle osseuse ; * l’assistance médicale à la procréation, qui fait appel aux dons d’ovules et de sperme ; * les recherches ayant comme objet l’embryon et les cellules embryonnaires ; * le dépistage de maladies faisant appel aux gènes.
Elle cherche à : * répondre le mieux possible aux questions soulevées par le progrès scientifique et technique, au regard des valeurs de notre société ; * garantir le respect de la dignité humaine et la protection des plus vulnérables contre toute forme d’exploitation.
La question des « mères porteuses » Aujourd’hui, il est strictement interdit en France, notamment pour des raisons éthiques, de porter un enfant pour un autre couple pour le lui remettre à la naissance. Cette