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La coiffure : Un métier toujours à la mode qui ne connait pas la crise

Dans une conjoncture économique morose, les métiers de la coiffure voguent allègrement à contre courant.

La coiffure, second secteur de l’artisanat, en nombre d’entreprises (62 717 entreprises réalisent un chiffre d’affaires de 5,1 milliards d’euros), qui connaît une progression de 2,4% par rapport à l’an dernier, a accueilli 6 300 nouveaux chefs d’entreprises, créateurs ou repreneurs en 2007. Autre indicateur vert foncé qui incite à l’optimisme et souligne les possibilités offertes aux candidats coiffeurs : d’ici à 2012, 10 000 entreprises de coiffure seront à reprendre. (Chiffres 2007 : Source Fédération Nationale de la Coiffure). Coiffeur ne rime donc pas du tout avec chômeur. Un message reçu 5/5 par les jeunes puisque l’on dénombre 24 000 élèves en apprentissage et un peu plus de 10 000 en lycées et écoles privées. Autant de candidats disposés à rejoindre ou à remplacer partiellement les 116 000 actifs qui officient dans les salons de l’hexagone.
Coiffeur, un métier de la beauté, de l’art et de la mode, conjugue le double avantage d’ancienne profession toujours porteuse d’avenir. Attention, cette profession, séduisante n’est pas toujours facile. Dans ce métier de service et de contact, les journées sont longues, il faut toujours rester debout, mais les compensations sont toujours au rendez-vous lorsque l’on s’y investit. Si vous souhaiter exercer ce métier vivant de communication et de mode vous devez obtenir l’un des deux diplômes clés de la profession : le CAP, que l’on « enrichit » avec une mention complémentaire de styliste-visagiste ou de coloriste-permanentiste. Le Brevet Professionnel de styliste-visagiste ou de coloriste-permanentiste, accessibles par voie scolaire (en lycée professionnel), en alternance (apprentissage en CFA/entreprise) ou par la Validation des Acquis de l’Expérience, un diplôme requis pour créer, reprendre ou devenir responsable d’un salon de coiffure. Des

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