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Je pense à toi ces temps-ci un peu plus que d'habitude. Peut-être parce que tu apparais partout sauf dans ma vie. Je te vois sur les photos, sourire encore, un peu. Parfois je m'imagine que l'on joue un jeu ; c'est à celui qui craquera le premier qui perdra sa dignité. Alors on en est là. Ou tout du moins, moi j'en suis toujours là. Je me demande à qui tu parles aujourd'hui de tous tes non-dits, qui te remonte le moral et qui te connait par cœur jusqu'à te balancer tes défauts en pleine gueule les jours où il y en a besoin. Avec qui tu t'engueules, pour qui tu pleures, à qui tu écris tard le soir. Pour qui tu craques, à qui tu mens, avec qui tu sors jusqu'à tard dans la nuit. Ces temps-ci, je pense à toi. Je parle de toi comme celui envers qui j'ai le plus de rancune. Et puis parfois, je me laisse aller à dire que tu es un manque à combler.
Déchiré de ton absence j'ai fui tout ce que j'étais mais j'ai besoin de ta confiance pour réparer nos plaies. .
Parfois, je me dis que j'aurais dû te donner plus de souvenirs, pour que tu mettes plus longtemps à m'oublier .
J'ai rêvé cette nuit, ou plutôt cauchemarder.. J'vous raconte, ça peut plus rester là, en moi. :
T'étais revenue, avec cette stupide boîte à la main, comme dans ce film « Jeux d'enfants » que tout le monde, ou presque aime. Cette boîte stupide que je t'avais donné avec un petit « Cap ou pas cap de m'aimer toute la vie ? » il y a de sa 2 ans maintenant. T'avais pas beaucoup changé, t'étais juste peut être encore plus jolie. J'souriais comme un abruti, après autant de